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Daisy

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les avis de Cinemasie

5 critiques: 2.15/5

vos avis

19 critiques: 2.74/5

visiteurnote
ultima 4.25
antigone 4
eniger 4
lesamouraifou 4
Inoran 3.5
geez 3.25
cityhunter 3
jeremiebarilone 3
Hidelirium 3
Black_pantha 3
Feid 3
Pikul 2.5
tu0r 2.5
Illitch Dillinger 2.25
Fred30 2
Toxicguineapig 2
yansan 1.5
Bastian Meiresonne 0.75
Bp 0.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

bien bien.

Une vraie tragédie ce film. J'ai franchement pas été déçu de le voir, il vaut largement le coup de s'attarder dessus. J'ai surement déjà du voir un bon paquet de romances coréennes mais on ne s'en lasse vraiment jamais. c'est sur qu'il ne faut pas les enchaîner sinon, on pourrait être pris de tendances suicidaires vu à quel point tout finit mal. Donc voilà et le principe de glisser un tueur dans le couple d'amoureux en question est assez bien trouvé.
Sinon, comme à son habitude, JUN Ji-Hyeon joue à la perfection et JEONG Wu-Seong vient vraiment bien s'ajouter dans ce rôle de tueur.
Donc voilà, tout est nickel si ce n'est que c'est un poil triste (mais bon, en même temps, c'est le principe du drame).

18 février 2008
par lesamouraifou


La fleur, le flic et le tueur

Co-production entre HK et la Corée du Sud, Daisy / Dai Xi (2005) de Andrew Lau, connu pour la trilogie Infernal Affairs est une romance policière dans laquelle on retrouve la jolie Jun Ji-hyeon (My Sassy Girl, Windstruck)…

Daisy c’est donc l’histoire du personnage de Jun Ji-hyeon qui à vingt cinq ans attend l’amour, le vrai. Le cinéaste hongkongais débute son film comme toute romance qui se respecte avec le cadre qui va avec. La vision de ce Daisy en director’s cut permet d’avoir une vision des personnages plus approfondit. Ainsi, on ne se satisfait pas seulement d’une romance comme il en existe des milliers et l’importance des deux hommes qui sont amoureux de notre héroïne donne toute la dimension au film dans cette triangulaire qui promet de la tension. On a donc le flic interprété par Lee Seong-jae (Public Enemy, Holiday) et Jeong Wu-seong (A Moment To Remember, Le Bon, la brute et le cinglé). Que dire d’autre ? Si ce n’est que les acteurs assurent leurs prestations.

Dans Daisy, Andrew Lau sait maintenir un profond suspense celui attrait à ses personnages, en particulier pour les deux hommes si bien qu’on se laisse entraîner dans cet univers. La réalisation du hongkongais est pour beaucoup, elle parvient à maintenir son spectateur éveillé aux évènements sans jamais flirter avec l’ennui et c’est un point plutôt positif pour un genre comme celui-ci, disons-le. Pourtant, si ce mélodrame fonctionne par certains aspects, on pourrait regretter le côté « policier » du film, inintéressant et creux pour ma part. Sur la forme, d’accords, sur le fond, il y en aurait à dire. Souvent superficiel cette co-production semble parfois fausse sur le plan des sentiments, un côté trop cinéma.

Daisy c’est ce mélodrame qui peut vaciller d’un moment à un autre dans le pathétique. Tout pour l’amour, rien que l’amour et on se retrouve avec des personnages idéalisés sans recule, sans véritable sentiments humains, ceux de la vraie vie. Nous n’avons le droit qu’à des personnages de cinéma extrême, alors oui c’est du cinéma, le cinéma reste le cinéma sans avoir toujours la prétention de retranscrire la réalité mais bon sang un peu de véritable sentiment dans tout ça. C’est peut-être là aussi que peine Daisy, un film qui partagera le plus grand nombre. On se laisse porter comme on pourrait aisément le trouver cul, cul. C’est ça aussi le cinéma. Sentiment mitigé donc…



18 septembre 2009
par Illitch Dillinger


Another bullet of love

Annoncé à grand renfort de publicité et judicieuse stratégie de marketing par ce temps de co-productions asiatiques (et vent en poupe du cinéma coréen), l'opportuniste Andrew LAU signe donc une comédie dramatique qui ne fait pas allusion une seule minute. Dès la première minute noyée dans des agaçantes envolées de violons, des images à faire trembler le moindre réalisateur de pubs Milka et par une voix off omniprésente (prouvant le peu de foi qu'accorde le réalisateur à ses images, qui parlent pourtant très bien toutes seules vue la simplicité du propos…), le film se traîne sur plus de deux heures pour raconter le sujet d'un court-métrage de dix minutes. Il faut avouer, que la séquence de la fusillade sur la place centrale d'Amsterdam faillit relancer un quelconque intérêt (du moins a-t-elle réveillé mon voisin de gauche pendant les deux minutes d'images tremblotantes, qu'elle a duré), mais – non. Pire, on avait pu penser – à raison – le genre de films éteints depuis les derniers navets du genre (hongkongais) au début des années '90s; Andrew Lau le ressuscite en un temps, deux mouvements. Peu importe, s'il prouve une nouvelle fois qu'il n'est qu'un piètre réalisateur (mais brillant chef-opérateur : tout dans la forme, rien dans le fond); ce qui donne peine à voir est l'énorme gâchis des interprètes principaux, - et de réussir de faire de JEONG Wu-Seong le "Michael Wong coréen"; bref, toute l'entreprise sent l'énorme arnaque commerciale, jusque dans son dénouement d'une niaiserie absolue !

13 avril 2006
par Bastian Meiresonne


Horreur sans nom

Stylisation outrancière, romantisme de pacotille, noirceur complètement hors de propos au vu de la guimauve écoeurante qui enveloppe le film et exotisme caricatural dans un Pays-Bas bohème façon "Un américain à Paris". Le tout baignant dans une esthétique tellement léchée qu'elle en devient complètement plate. Ridicule. Ne surnagent là-dedans que les performances en dents de scie des acteurs, qui, contrairement à leur réalisateur, y croient un peu.

21 mars 2007
par Bp


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